Auteur/autrice : Annabelle Georgen

Correspondante basée à Berlin. Sur Instagram: @annabelle.georgen

À Berlin, l’amour est une licorne

Que l’on soit lesbienne, gai, queer ou hétéro n’y change rien: à Berlin, l’AMÛÛÛR, c’est une licorne. Et elle ne gambade pas sur les applis de rencontre. Les innombrables conversations que j’ai pu avoir avec des Berlinois·e·x·s sur le sujet s’achèvent toujours sur le même triste constat: il n’y a rien de plus merdique que le dating à Berlin.

«Il n’y a pas de bar lesbien à Berlin»

«Il n’y a pas de bar lesbien à Berlin.» Chaque fois que je laisse choir d’un air désolé cette réponse lapidaire à des copines de France ou d’ailleurs qui veulent en savoir plus sur les nuits folles de la communauté LGBTIQ+, c’est la consternation: «Comment? Quoi? C’est une blague? Non mais c’est pas possible! Il n’y a PAS de bar à gouines à Berlin?»

Inséparables

Dans la programmation du Festival du film et forum international sur les droits humains de Genève, une perle: «Nelly et Nadine», qui retrace l’histoire d’amour de deux femmes dans l’enfer des camps de concentration. Rencontre avec son réalisateur, Magnus Gertten.

«Tu ne toucheras point»

Touch Isolation, la dernière création du duo formé par le metteur en scène Marcel Schwald et le chorégraphe Chris Leuenberger, clôturera le festival de danse contemporaine Les Printemps de Sévelin. La performance pour trois danseurs traite de l’absence de proximité physique entre les hommes dans la culture américaine. Trois questions à Marcel Schwald.