Récemment inauguré à Berlin, le monument en mémoire des victimes homosexuelle du régime nazi a été endommagé par des inconnus.
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Suscitant des réactions mitigées, un monument à la mémoire des homosexuels persécutés sous le régime national-socialiste a été inauguré mardi à Berlin, à deux pas du mémorial aux victimes de la Shoah.
Conservé par les Archives d’État de Genève, le calvaire d’un jeune homme de 15 ans, condamné et mis à mort en 1566 pour l’abominable péché de sodomie, est le sujet d’un drame historique et politique passionnant de Jean-Claude Humbert.
À l’instar de James Watson, père de la génétique moderne, plusieurs lauréats du prix Nobel se sont illustrés par des dérapages eugénistes. Des théories aujourd’hui discréditées, mais qui rencontrent encore trop souvent un écho politique.
Des recherches mettent en lumière l’existence de Français arrêtés et déportés pour homosexualité en zone occupée, entre 1941 et 1944.
Attention, livre culte! C’est un témoignage incroyablement méticuleux du sexe entre hommes dans l’Amérique des années 60 que Laud Humphreys nous a légué dans Le Commerce des pissotières.
A la fin du XIXe siècle, les Parisiens se pressaient devant une scène qui n’était ni un théâtre, ni un opéra, mais un hôpital: la Salpêtrière. C’est là que le médecin neurologue Jean-Martin Charcot exhibait un phénomène déroutant et spectaculaire: l’hystérie. Une «affection nerveuse» qui a fasciné son monde avant de tomber en désuétude.
Entre 1936 et 1977, environ 4000 hommes et femmes auraient été emprisonnés ou internés à cause de leur orientation sexuelle.
Première du genre, l’«Histoire des transsexuels en France» retrace une histoire faite de talent, de courage et d’inventivité, sortie en librairie quelques jours avant le décès de l’icône transsexuelle Coccinelle.
La star transsexuelle est morte lundi à Marseille. Chanteuse, comédienne, meneuse de revue et grande séductrice, elle fut en France le premier homme à oser franchir le pas de la réassignation sexuelle, en 1958.
Le «mois de l’histoire LGBT», une initiative visant à faire réfléchir les éducateurs sur l’image des personnes homosexuelles dans l’histoire, se heurte à l’hostilité virulente de l’extrême droite.
Primé dans plusieurs festivals, dont celui de Berlin, «Katzenball» («Le bal des chattes sauvages») fait résonner la mémoire de la communauté lesbienne, et des homosexuels suisses en général, avec pour guide la réalisatrice Veronika Minder.
Deux ouvrages récents rappellent le lourd héritage de Samuel-Auguste Tissot (1728-1797), médecin lausannois auteur de «l’Onanisme». Best-seller avant la lettre, l’ouvrage présente sur le «vice solitaire» des observations cliniques et des conclusion proprement effrayantes qui ont alimenté la honte et l’angoisse envers ce qui reste l’un des derniers tabous.
Louis II de Bavière et son maître d’écurie s’ébattaient-ils dans le foin du château de Neuschwanstein? La justice allemande est saisie du dossier.
Lyon ouvre un centre d’archives gay et lesbien: une première française, alors qu’à Paris un projet similaire continue de piétiner.