En Suisse, le pourcentage d’ados ne s’identifiant pas comme hétéro avoisinerait les 17%. La stigmatisation et les violences que ces jeunes subissent font souvent de leur parcours scolaire un calvaire. Bien que nécessaire, la sensibilisation, à travers des interventions spécifiques auprès des professionnel·le·x·s et dans les classes, n’en est qu’à ses prémisses. Rencontre avec les acteur·ice·x·s de terrain romand·e·x·s.
Auteur/autrice : Line Golestani
À l’approche de Noël, la distinction «fille»/«garçon» tend à disparaître des catalogues et des rayons. Mais les vêtements et jouets genrés demeurent bien souvent présents. Heureusement, de plus en plus de marques brisent les codes.
Les pratiques découlant de stéréotypes de genre à l’égard des enfants ont des conséquences sur les choix et les attitudes qu’iels adopteront tout au long de leur vie. Pour instaurer l’égalité et lutter contre ces stéréotypes dès le plus jeune âge, les structures de la petite enfance ont un rôle central à jouer.
Cela fait tout juste un an que Richie Nath, jeune peintre-illustrateur birman, est arrivé à Paris. Accueilli par l’Atelier des Artistes en Exil, il poursuit sa carrière artistique et se fait à sa nouvelle vie parisienne.
A l’heure où il est beaucoup question d’égalité, certains domaines comme la coiffure semblent totalement y échapper. Quelques rares enseignes et un collectif tentent d’y remédier, en rendant leurs services plus inclusifs.
Bertrand Charles Sonnay est un enfant du lac. Né à Villeneuve en 1956, d’un père employé à la CGN, le trésorier senior de Vogay gère depuis plus de 20 ans la Société Nautique d’Ouchy. Connu pour son franc-parler, l’homme profite de ses multiples engagements associatifs pour insérer les laissé·e·x·s pour-compte dans les sociétés locales.
Pratique courante dans plusieurs communautés à travers l’Asie, l’Afrique ou encore l’Amérique Latine et de plus en plus répandue en Amérique du nord, l’allaitement induit demeure largement méconnu dans notre société.
Craint·e·x·s, respecté·e·x·s, souvent méprisé·e·x·s, les membres de la communauté hijra ou «3e genre» et les autres femmes trans* tentent de (re)trouver une place dans la société indienne.
Au terme de périples migratoires traumatiques, le malaise des personnes LGBTIQ+ demandant l’asile en Suisse perdure souvent tout au long de la procédure, parfois au-delà. En cause, une prise en charge inadaptée à tous les niveaux.