La rubrique «Question santé» répond à vos interrogations. Ce mois-ci, quelques éclaircissements sur les pratiques du «chemsex» et du «slamming».
Étiquette : IST
Le Tribunal administratif a rejeté le recours déposé au nom de 35 enfants et ados prétendument perturbés par une campagne contre les infections sexuellement transmissible.
Des experts de la santé s’inquiètent de la flambée des cas de gonorrhées et de syphilis. Ils incriminent les applications qui facilitent les coups d’un soir.
En 2012, une enquête sur la «santé des femmes qui aiment les femmes» a été menée en Suisse romande. Les résultats seront présentés au public dès septembre. Une grande première.
La récente enquête de Profa a démontré que les «femmes qui aiment les femmes» ont des besoins spécifiques en matière de santé et ne trouvent pas toujours leur compte dans l’offre actuelle.
Pas de quoi pavoiser sur le front des infections sexuellement transmissibles: davantage de cas de VIH, syphilis, gonorrhée et chlamydia, notamment parmi les hommes gay et bi. C’est à Genève que la tendance semble la plus marquée.
Les autorités sanitaires suisses renoncent aux sms anonymes qui devaient permettre aux personnes atteintes par une MST d’alerter leurs derniers partenaires sexuels: «trop d’abus.»
En quatre semaines, quatre infections ont été signalées, dont une mortelle, chez des HSH séropositifs. Une alerte a été lancée.
Groupe romand de prévention s’adressant aux femmes qui aiment les femmes, les Klamydia’s lancent un clip qui aborde avec humour la question des infections sexuellement transmissibles.
La fondation Profa lance un questionnaire en ligne sur les besoins des lesbiennes en matière de santé. Une première en Suisse romande.
Afin de lutter contre l’augmentation du VIH et des IST chez les gays, l’OFSP publie une nouvelle brochure et propose un véritable plan d’action à la communauté.
Deux études publiées coup sur coup cette semaine prônent la vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) chez les jeunes hommes. Le virus est responsable de condylômes et de cancers, surtout parmi les homosexuels.
L’enquête EMIS de 2010 place les Helvètes dans le peloton de tête européen quant au nombre de partenaires. Ils seraient aussi ceux qui estiment prendre le moins de risques.
Du sperme prêt à injecter, acheté par correspondance, c’est ce que proposent un nombre croissant de sites, selon les autorités canadiennes, qui alertent des risques de ce business ciblant notamment les lesbiennes.
Les autorités sanitaires suisses prévoient que le nombre de nouvelles infections en 2011 atteindra le même niveau que l’an dernier. Chez les hommes gay et bi, on a dénombré 120 dépistages positifs.