La vision réductrice, catastrophiste et culpabilisatrice donnée par les médias généralistes ne doit pas faire oublier les réalités des chemsexeurs et de celleux qui les accompagnent.
Étiquette : Drogue
Dans All the Beauty and the Bloodshed, Laura Poitras brosse le portrait de la célèbre photographe avant-gardiste, qui a déclaré la guerre aux Sackler, richissimes mécènes responsables de la crise meurtrière des opiacés.
Sur Netflix, le très prenant «SanPa» explore en cinq épisodes l’aventure humaine (et inhumaine) d’un centre de désintox pionnier en Italie et de son leader controversé, Vincenzo Muccioli, sur fond de sida, de télé et de politique.
De partouzes en illusions synthétiques, de solitude en dépendances, les plaisirs du chemsex peuvent induire de nombreux dangers. Face à ces pratiques, décuplées à l’ère des apps, s’esquisse une réponse communautaire.
Des spécialistes en santé sexuelle australiens dénoncent les «préjugés» contre le poppers de l’agence nationale du médicament, laquelle a décidé de bannir les petites fioles controversées.
Une campagne a été lancée en direction des gays dans la deuxième métropole de France, touchée à son tour par le phénomène.
A la demande d’utilisateurs et d’élus, Grindr a annoncé avoir bloqué certains symboles et codes utilisés par les dealers de stupéfiants sur son application.
Une enquête menée par Dialogai avec l’Uni de Genève s’est intéressée à l’évolution de la consommation de psychotropes parmi les homosexuels suisses. Elle remet en cause quelques idées reçues.
Les «slamming parties», où drogue et sexe sont consommés sans relâche, font de plus en plus d’adeptes au sein de la communauté gay de la métropole allemande.
Un film controversé donne pour la première fois la parole aux «slammers», pris au piège d’une véritable addiction, qui progresse dans la communauté gay.
Selon l’hebdomadaire «GHI», les revendeurs africains de cocaïne qui arborent les rues chaudes de Genève offrent désormais des prestations sexuelles. Et alors?
Un homme d’église «en congé sabbatique» défraie la chronique aux Etats-Unis. Après avoir organisé des soirées fétichistes dans son presbytère, il s’était mis à trafiquer des méthamphétamines.
La police enquête sur le décès mystérieux de deux clients d’un établissement gay de la capitale britannique, le Pleasuredrome, le week-end dernier.
Une étude menée en Angleterre et au Pays de Galles relève un taux alarmant d’usage de drogues parmi les gays et les lesbiennes. Tout le monde n’est pas d’accord sur l’origine du phénomène.
Un studio porno américain franchit une nouvelle étape dans l’escalade du trash. Une de ses dernières vidéos, tournée au Royaume-Uni, montre des modèles qui se droguent par injection.