Antonio, 37 ans, revendique un bareback «éthique» et décrit cette pratique comme l’aboutissement d’un parcours spirituel.
Catégorie : Sexualités
Les années sida ont eu comme corollaire le port systématique du préservatif lors de tout rapport sexuel. Jusqu’à une époque récente, il en allait de même dans l’industrie du film porno gay. Or, aujourd’hui, le porno bareback a statut de marché florissant.
Persévérer dans l’absence de désir, dans une société sous perfusion de Viagra, quel culot! Et pourtant, un nombre croissant d’individus déclarent ouvertement ne pas avoir envie de faire l’amour.
Je savais que le vagin parlait – qu’il monologuait même en certaines occasions. En revanche je dois avouer ma stupéfaction quand j’ai appris qu’il ne s’interdisait pas de péter. Levons donc un coin du mystère d’une main, en nous bouchant les narines de l’autre.
Tout frais tout rose, un gland s’apprivoise en douceur au cours des années d’éveil : d’abord irritable et douloureux, la petite cerise s’habitue aux bonnes choses et s’enhardit. Normalement. Sauf quand Dame Nature vous a refilé un prépuce dont l’extrémité (« l’anneau ») est trop étroite pour permettre la découverte complète du gland au repos ou lors d’une érection.
Réputés pour leurs émanations aphrodisiaques, les «poppers» se vendent dans de nombreux sex-shops et clubs gays européens. En Suisse, ce produit méconnu profite d’un cadre législatif vaporeux.
Quand le sexe comme une drogue devient dépendance et qu’il annihile tout autre aspect de la vie d’un individu, ce dernier doit avoir recours à une aide médicale. Quels sont les moyens thérapeutiques mis en œuvre en Suisse et à l’étranger?
De nouveaux lieux de rencontres à prix cassés s’ouvrent dans la région et témoignent d’une tendance: le sexe entre hommes devient plus que jamais un marché de l’offre et de la demande. Que disent ces «sex-clubs», «cruising bars», et autres nouveaux «terrains de jeu», de nos mâles habitudes de consommateurs?
A l’initiative de la boîte de production de Lars Von Trier, des films pour femmes tentent de faire leur place au milieu de l’industrie du X. Un pari osé? Entretien avec Nicolas Barbano, chargé de création d’Innocent Pictures.
Une fois l’an, la nuit de clôture du Salon de l’érotisme de Bruxelles rassemble un millier de fétichistes belges et européens. Sous les tenues de latex, la chair s’exhibe, se torture un peu et se morfond poliment.