Un élève a annoncé qu’il voulait qu’on l’appelle désormais avec un prénom masculin. Une première à Genève qui a lancé le débat.
Auteur/autrice : Nadia Barth
Fraîchement retraitée, Marianne Schweizer a consacré sa carrière à la cause des travailleuses du sexe à Genève. Portrait.
Ce cinéaste et militant a fait de la cause homosexuelle un élément central de son parcours. Portrait d’un Genevois qui n’a pas peur de faire éclater les carcans sociaux.
Le projet Asile LGBT passe à l’action. Depuis le début de cette année une série de mesures a été mise en place afin d’accueillir les réfugiés homos et trans à Genève.
Pour sa cinquième édition, La fête du slip embarque le public à la découverte du corps, du genre et de la sexualité à travers un programme hot et audacieux.
La question du genre est partout. A l’heure où certains constatent un essoufflement des militantismes féministes et LGBT, cette approche dans l’air du temps pourrait bien leur donner un nouvel élan.
La Haute école d’art et de design de Genève fête ses 10 ans. L’occasion de s’intéresser au travail de ses jeunes talents comme celui de la designer de mode Xenia Laffely.
La binarité masculin/féminin occupe le travail de la chorégraphe suisse Marie-Caroline Hominal, qui présente son «Taxi Dancers» à Genève.
L’image de la vieillesse au sein de la société souffre de stéréotypes et s’accompagne de réalités sociales comme l’isolement. La communauté LGBT n’y échappe de loin pas.
Le cours sur l’intersexualité de l’UNIL affiche complet. Un succès qui montre l’intérêt pour cette question complexe, que les autorités politiques et médicales commencent tout juste à prendre en compte.
Une étude menée à l’Université de Genève confirme une vieille prémonition: certains homophobes ont une attirance homosexuelle latente. Mais elle ajoute quelques nuances importantes.
Retour sur une découverte capitale qui a changé le destin des personnes atteintes par le VIH.
C’est dans un discret coin de café que je rencontre Géraldine. Elle a découvert notre chronique «Parle-moi de sexe» par hasard, grâce à un ami. Elle a alors tout de suite pris contact avec nous pour partager son histoire. Un secret que cette femme de 34 ans garde depuis bientôt deux ans.
Ce mois-ci c’est Camille, 28 ans, qui accepte de se confier sur sa vie sexuelle.
Le groupe qui soutient les personnes porteuses du VIH/sida à Genève fait l’objet d’une coupe budgétaire drastique. Mais ses animateurs ne déposent pas les armes.