Longtemps qualifié de «vice honteux qui décime la jeunesse», la masturbation n’est valorisée par les sexologues que depuis vingt ans. Petit précis de l’art de la branlette…
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Il est devenu, pour ainsi dire, à portée de toutes les bourses: le sexe de groupe connaît, grâce à internet et aux sites de rencontres gay, un essor considérable. Encore que… du fantasme de l’orgie à la réalité des «sex parties», la déception est souvent au rendez-vous.
Cinq ans après le flamboyant «Hedwig and the Angry Inch», John Cameron Mitchell revient avec «Shortbus», un film qui parle d’épanouissement personnel, de sexe et de notre rapport au monde. Avec émotion, franchise et sans tabou.
Antonio, 37 ans, revendique un bareback «éthique» et décrit cette pratique comme l’aboutissement d’un parcours spirituel.
Persévérer dans l’absence de désir, dans une société sous perfusion de Viagra, quel culot! Et pourtant, un nombre croissant d’individus déclarent ouvertement ne pas avoir envie de faire l’amour.
Je savais que le vagin parlait – qu’il monologuait même en certaines occasions. En revanche je dois avouer ma stupéfaction quand j’ai appris qu’il ne s’interdisait pas de péter. Levons donc un coin du mystère d’une main, en nous bouchant les narines de l’autre.
Tout frais tout rose, un gland s’apprivoise en douceur au cours des années d’éveil : d’abord irritable et douloureux, la petite cerise s’habitue aux bonnes choses et s’enhardit. Normalement. Sauf quand Dame Nature vous a refilé un prépuce dont l’extrémité (« l’anneau ») est trop étroite pour permettre la découverte complète du gland au repos ou lors d’une érection.
Quand le sexe comme une drogue devient dépendance et qu’il annihile tout autre aspect de la vie d’un individu, ce dernier doit avoir recours à une aide médicale. Quels sont les moyens thérapeutiques mis en œuvre en Suisse et à l’étranger?
Les backrooms, ces lieux où s’entremêlent intimité et spectacle, s’offrent une nouvelle tendance: les cabines pour filles. Erotique? Euh, allons voir dans une boîte parisienne.
De nuit comme de jour, les aires d’autoroute sont prisées pour la «consommation rapide». Toilettes ou buissons, activisme ou voyeurisme, il y en a pour tous les goûts. Une drague qui a ses heures, ses rites et parfois, comme à Zurich, son trop plein de flics.