Overdose de cockrings dans les rues de San Francisco
Le port ostensible d'un anneau de métal à la base du pénis reste en travers de la gorge d'habitants de San Francisco, une ville qui tolère le naturisme urbain.
A l’instar de rares villes européennes (comme Barcelone, en tout cas jusque récemment), se balader à poil n’est pas illégal à San Francisco. Dans le quartier gay de Castro, sans parler de la sulfureuse Folsom Street Fair, certains profitent allègrement de cette tolérance locale. Seule recommandation aux messieurs adeptes du naturisme urbain: garder ses organes reproducteurs en position repos. Mais ce ne serait plus suffisant. Ainsi le superviseur (conseiller municipal) Scott Wiener s’est-il ému de la présence, de plus en plus fréquente selon lui, d’hommes portant ostensiblement un cockring. Il aurait reçu un nombre considérable de plaintes émanant de citoyens incommodés par la vue des anneaux portés à la base du pénis, rapporte le «Bay Area Reporter».
Parure
«Quelque soit l’opinion des gens sur la nudité en public, explique Wiener, le fait de se promener avec un cockring n’est pas acceptable, ce n’est pas un comportement responsable. Le but est d’attirer l’attention sur cette zone du corps.» Les intéressés répliquent, offusqués, que les fameux anneaux ne sont qu’une forme de parure comme une autre, aussi anodine qu’un bracelet ou que des boucles d’oreille. «Depuis la pride, on m’a dit que les gens portant un cockring étaient harcelés», se plaint un défenseurs des naturistes, Mitch Hightower. En tout cas, du côté de la police, on dément avoir mis en place une quelconque surveillance.
«Quelque soit l’opinion ” s’écrit “Quelle que soit”… Qui sont ces journalistes que vous employez ?
Des analfabaites!
Analfabaites, une contrepèterie ?
Et «un défenseur» n’a pas besoin de «s» à la fin