Cinq casseurs s’en prennent aux locaux de Dialogai
Après un nouvel incident, samedi, où deux personnes ont reçu des coups, l'association met en place une hotline afin de recueillir des informations sur des agressions homophobes qui semblent se multiplier à Genève.
Quinze jours seulement après l’agression dont ont été victimes deux étudiants gay à un arrêt de bus, ce sont les locaux de Dialogai aux Pâquis qui ont été attaqués, samedi soir dernier. Cinq jeunes munis d’une poutre en fer ont tenté de défoncer la porte du local où se déroulait une soirée, communique aujourd’hui l’association homosexuelle. Deux personnes qui tentaient de s’interposer ont été insultées et frappées. Une plainte a été déposée à la police.
Suite à ce nouvel incident, Dialogai a annoncé la mise sur pied d’un «recensement» de tous les actes de violence dans la région genevoise, qu’elle ait donné ou non lieu à une plaine auprès de la police. Les personnes concernées peuvent appeler – anonymement si elles le souhaitent – le 022 906 40 40 ou adresser un e-mail à info(at)dialogai.org.
Que les gamins du quartier aillent tester leurs petits biceps « chez les pédés », je vois pas ça comme une vague d’homophobie mais plutôt comme une « mode » esperons-le passagère. Ce qui nous empêche pas d’être un peu plus vigilants et à la police de faire son boulot, ce qui n’a pas l’air d’être vraiment le cas.
Navré pour les victimes de ces attaques récentes (et cela , pour la 2eme fois en un an à Dialogai)
L’antenne téléphonique de recensement d’actes de violence homophobe est une bonne idée.
Mais à part ça , j’espère qu’à l’avenir , Dialogai prendra des dispositions en engageant un véritable et efficace service de sécurité à l’entrée de ses soirées.
Bonjour, après que depuis ces lieux ou on a lutté contre les discriminations, obtenu des droits pour les patients, un PACS Genevois et, dans une moindre mesure le PACS fédéral que ces lieux soit victime de violence cela me touche.
pourtant, DIALOGAI doit arrêter l’angélisme et arrêter de jouer le vierges effarouchées 8
DIALOGAI, semblai ignorer l’augmentation de la délinquance des agression dont on est tous victimes.
aucune soirée ne se fait a Genève sans service de sécurité autant a l’extérieure qu’à l’intérieur.
c’est une condition pour obtenir une autorisation pour une soirée par ex.
DIALOGAI s’est depuis toujours affranchis des ces contraintes et pense encore y échapper.
là maintenant et peu importe mes pensées sur le fonctionnement de cette association, le plus important, c’est comme par le passé, les consultants qui viennent a DIALOGAI, les visiteurs, le personnes d’un certain age, d’éthines et j’ en passe….
que toute personne étant a proximité ou à DIALOG-AI puisse le faire en toute sécurité, librement et a toute occasions.
je m’occuperais a cela durant mon temps libre .
je m’excuse d’avance si les accès aux locaux de DIALOGAI est un peu moins plaisant du fait de ma, ou notre présence par moments.
j’entend faire respecter mes, vos droit constitutionnels, et le droit de réunion, n’est pas négociable .
Réponse pour Jean Marc.
Est-ce à dire que Dialogai a institué une surveillance systématique à l’extérieur des locaux lors des soirées régulièrement organisées ? Enfin! Allelouia, Allez Louis… que le grand cric me croque et que le crac croque tous les autres… de mauvaise volonté !
Nous avons déjà pu constater de visu lors de la soirée du 11 décembre que deux malabars assuraient l’entrée et les sorties de Dialo, à notre grand soulagement à tous,toutes, mes amies comme moi-même.
Si Jean Marc était présent ce soir là, merci à toi ainsi qu’à ton accolyte. vous nous êtes apparu plutôt comme un joli cadeau de Noel, avec ou sans culotte de velours. Et pas d’inquiétude, je ne pense pas que l’on puisse vous accuser de gâcher le paysage!
J’espère que tu as beaucoup de temps libre… et merci de nous en faire profiter.
en attendant de le faire de vive voix, je te salue.