Des cathos d’extrême droite réclament une prière publique pendant l’événement LGBT tessinois. «No grazie», leur a répondu la Ville.
Auteur/autrice : François Touzain
La LGBT+ Helpline mise en place fin 2016 a livré son premier rapport, qui plaide pour une prise en compte par les autorités suisses des crimes de haine motivés par l’orientation sexuelle et l’identité de genre.
La manifestation de samedi dans la vieille-ville de Berne a rassemblé quelques centaines de femmes et d’alliés réclamant la fin des discriminations et de l’invisibilité sociale.
Le droit pénal suisse va reconnaître comme viol des actes de pénétration forcée, sans distinction quant au sexe de la victime, a annoncé hier l’Exécutif fédéral. Une réforme attendue de longue date, notamment par les associations gay.
Au nom de la lutte contre la gentrification, une coopérative a institué des critères d’attribution de logements sur la base de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre, entre autres. Une volonté qui ne passe pas toujours bien auprès des futurs locataires.
En vue de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, dont le programme promet d’être riche cette année, un projet mis sur pied à Genève et un autre à l’Uni de Lausanne sont en quête de soutien.
Déjà très active auprès des jeunes, l’association pour la diversité sexuelle et de genre se dotera le mois prochain d’un accueil de jour unique dans le canton.
Pas de parade LGBT en terres romandes cette année… Mais la fête des fiertés reste en Suisse latine, avec – enfin – la première Pride à Lugano, dont le programme a été présenté aujourd’hui.
Pour la première fois, la Journée de la visibilité lesbienne donnera lieu à une manifestation dans les rues de la capitale, le 28 avril.
Deux ans et demi après sa résurrection, le magazine gay français dépose une nouvelle fois son bilan.
A la conquête d’un siège au conseil municipal du très gay West Hollywood, Eric Jon Schmidt a décidé d’intégrer ses photos et vidéos X dans son programme de campagne.
Une ONG norvégienne a découvert que l’app de drague gay transmettait les statuts sérologiques déclarés par ses utilisateurs à des sociétés tierces.
Le poisson d’avril d’un site d’information LGBT allemand, promettant une grossesse pour autrui à un couple gay par tirage au sort, a suscité un fort malaise.
La Fédération genevoise des associations LGBT a publié les réponses de son traditionnel questionnaire au candidats au Parlement et à l’Exécutif cantonaux.
Un réjouissant élan de solidarité permet à l’association LGBT valaisanne de sortir la tête de l’eau. Non seulement elle ne sera pas dissoute, mais elle voit naître de nouveaux projets.