On les appelle «gaymen», mais ils ne sont pas homos: ce sont les jeunes arnaqueurs qui sévissent sur internet depuis les cybercafés africains. Un sobriquet qui semble ne rien devoir au hasard.
On les appelle «gaymen», mais ils ne sont pas homos: ce sont les jeunes arnaqueurs qui sévissent sur internet depuis les cybercafés africains. Un sobriquet qui semble ne rien devoir au hasard.