À travers la lecture, le chant, le lip-sync, la danse, le stand-up et la présentation audiovisuelle, l’artiste marseillais Théophylle Dcx tisse des liens entre la crise du sida des années 80-90 en Occident et sa propre expérience en tant que jeune pédé séropositif.
Étiquette : Performance
Un spectacle autobiographique qui suit la trajectoire de vie d’une femme trans au courage hors norme, l’artiste indienne réfugiée en Suisse Living Smile Vidya.
L’Indienne Living Smile Vidya et les Suissesses Meret Landolt et Nina Langensand déploient un espace
En partant de son expérience intime de femme, actrice, travailleuse du sexe virtuelle, dominatrice et objet, la performeuse chilienne Josefina Cerda raconte son parcours, d’une enfance hypersexualisée jusqu’à l’âge adulte.
Satan est une bimbo libératrice dans ce nouveau volet de la trilogie joyeusement trash de Teresa Vittucci, In praise of vulnerability
La performance conçue par Jen Rosenblit construit un ailleurs porté par quatre voix qui incarnent un autre futur des possibles, un horizon queer
Les mots d’autrices afro-descendantes à travers la voix de Florence Chitacumbi et la percussion de Béatrice Graf.
À la fois performance et installation, la nouvelle création d’Élie Autin compose un fascinant rituel de séduction, de pouvoir et d’assujettissement
Une pièce autofictionnelle où le chorégraphe queer Bast Hippocrate dissèque les jeux de pouvoir qui s’instaurent fatalement dans une relation
Une pièce autofictionnelle où le chorégraphe queer Bast Hippocrate dissèque les jeux de pouvoir qui s’instaurent fatalement dans une relation
Satan est une bimbo libératrice dans ce nouveau volet de la trilogie joyeusement trash de Teresa Vittucci, In praise of vulnerability
Dans leur pièce-performance Rouge est la couleur de…?, qui se joue du 15 au 19 janvier 2025 à l’Arsenic (Lausanne), Alice Oechslin et Mayara Yamada livrent une création scénique queer sur leur union civile.
«Rouge est la couleur de…?» De la Suisse ou de l’Amour? Quand une paire queer
Performance multidisciplinaire de durée, Willing to Eat Stars mêle une imagerie hyper réaliste alimentée d’horreur,
«Après l’apocalypse … il ne reste que les punks, les plantes et le reggaeton.» Artiste
