Leonardo DiCaprio aurait décliné le rôle du mathématicien britannique, héros de la Seconde guerre mondiale persécuté en raison de son homosexualité. Mais le projet n’est pas abandonné.
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Pride interdite, prison pour les «propagandistes» homos: en Hongrie, les néofascistes provoquent l’Union européenne en se déchaînant contre les LGBT, après les Roms et les Juifs.
Dans un magazine gay de Hambourg, un sex-shop gay danois vante ses produits avec l’image d’un officier SS. Tollé.
Melvin Dwork tient sa revanche. Jeté dehors de la Marine américaine en raison de son homosexualité, ce gay New-Yorkais sera enfin reconnu comme vétéran de la Seconde guerre mondiale.
Il était le dernier survivant connu des Triangles roses, les déportés pour cause d’homosexualité sous le IIIe Reich. Rudolf Brazda est mort hier à l’âge de 98 ans.
Le dernier déporté homosexuel connu, qui a été nommé chevalier de la Légion d’honneur par la France le 24 avril dernier, évoque son incroyable traversée du siècle dernier.
Dernier survivant connu de la déportation des homosexuels sous le IIIe Reich, l’Alsacien Rudolf Brazda sera l’invité de Dialogai, samedi 26 février, pour une conférence exceptionnelle et le vernissage d’une exposition.
Né en 1913, Rudolf Brazda évoquera son itinéraire d’homosexuel dans l’Allemagne des années 30 et sa déportation lors d’une conférence unique, samedi 4 septembre.
Entre deux polémiques qui contestent la présence des lesbiennes dans les camps de concentration nazis, un travail de recherche tombe à pic et propose une lecture queer de cette partie trouble de l’histoire.
Dans un livre à succès, «1940-1945, Années érotiques», le journaliste Patrick Buisson suggère un lien entre homosexualité et collaboration. En acceptant de se prêter à une lecture critique de l’ouvrage, deux historiens, Annie Lacroix-Riz et Mickaël Bertrand, révèlent d’autres dessous du régime de Vichy.
Récemment inauguré à Berlin, le monument en mémoire des victimes homosexuelle du régime nazi a été endommagé par des inconnus.
Suscitant des réactions mitigées, un monument à la mémoire des homosexuels persécutés sous le régime national-socialiste a été inauguré mardi à Berlin, à deux pas du mémorial aux victimes de la Shoah.
Des recherches mettent en lumière l’existence de Français arrêtés et déportés pour homosexualité en zone occupée, entre 1941 et 1944.
Un monument berlinois en hommage aux victimes homosexuelles du nazisme suscite une vive polémique à l’intérieur de la communauté LGBT allemande.
L’un des uniques survivants à avoir témoigné de la déportation homosexuelle en France et milité pour sa reconnaissance s’est éteint à l’âge de 82 ans.