Bien qu’anorexie et boulimie touchent principalement les femmes, on estime que 10 à 15% des cas de troubles alimentaires concernent des hommes. Parmi les nombreuses causes identifiées, il semble bien que l’homosexualité soit un facteur non négligeable.
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Les grandes chaleurs nous le rappellent: la transpiration ne permet pas seulement de réguler la température corporelle ou de donner à la peau un petit goût salé – elle exhale mille parfums, qui en incommodent certains et en envoient d’autres au septième ciel.
Avec un nouveau rapport consacré à la santé des lesbiennes et des bisexuelles, l’ILGA propose enfin une somme dans ce domaine jusqu’ici passé sous silence.
Sa petite frimousse pointe dans les recoins les plus sombres du corps. On le trouve sur les parois rectales, sur l’anus, sur la vulve, dans le vagin ou encore, avec superbe, sur le bout du gland. Mais qui est ce sinistre invité (par personne) qui squatte nos chairs intimes sans pourtant être douloureux? Le condylome, qu’on l’appelle.
De fait, les chlamydia ne sont pas la plus spectaculaire, ni la plus glamour des infections sexuellement transmissible (IST) – mais pour autant, ce n’est pas la moins dangereuse.
Plusieurs études le confirment : le mariage gay peut “booster” la santé physique et mentale des homosexuel-le-s .
Je savais que le vagin parlait – qu’il monologuait même en certaines occasions. En revanche je dois avouer ma stupéfaction quand j’ai appris qu’il ne s’interdisait pas de péter. Levons donc un coin du mystère d’une main, en nous bouchant les narines de l’autre.
Tout frais tout rose, un gland s’apprivoise en douceur au cours des années d’éveil : d’abord irritable et douloureux, la petite cerise s’habitue aux bonnes choses et s’enhardit. Normalement. Sauf quand Dame Nature vous a refilé un prépuce dont l’extrémité (« l’anneau ») est trop étroite pour permettre la découverte complète du gland au repos ou lors d’une érection.