Le webzine est le seul à perdurer dans le paysage médiatique LGBT au Moyen-Orient. Son fondateur, Khalid Abdel-Hadi, a fait de «My Kali» un outil d’expression racé, aussi personnel que politique.
Étiquette : Printemps arabe
Féministe, militante et ouvertement lesbienne, la réalisatrice de «Nos seins nos armes» critique l’hypocrisie des lois de son pays envers la communauté gay. Rencontre.
Après la découverte de Corans déchirés, les aveux filmés d’un jeune homme sentent à plein nez la mise en scène, orchestrée par les milieux salafistes tunisiens.
Le petit-fils de la star de «Lawrence d’Arabie», acteur lui-même, livre un coming-out en forme de défi aux politiciens de son pays. Hélas, il sombre dans le ridicule.
Mercredi, des pirates ont pris le contrôle de «Gay Day Magazine», la voix des homosexuels de Tunisie, que les autorités tentent de faire taire.
Un an après la chute de Ben Ali, les gays et lesbiennes tunisiens s’interrogent sur leur place dans la nouvelle société. La fin de l’invisibilité amène plus d’incertitudes que d’espoirs.
Deux scandales, dont l’un implique le ministre de l’Intérieur filmé lors d’ébats homosexuels, enflamment la rue tunisienne. Le résultat d’une surenchère d’accusations et d’intox, dont les gays et lesbiennes font les frais.
L’Egypte vit une nouvelle vague de soulèvements et de répression meurtrière. Parmi les milliers d’anonymes qui réclament liberté et démocratie, des homosexuels. La parole est à eux.
Un responsable du parti islamiste Ennahda a assuré que la formation, qui a triomphé aux élections tunisiennes de dimanche, respecterait les droits des homosexuels, des femmes et des athées. Un engagement de circonstance?
Au cœur de la révolte populaire en Egypte, un jeune gay de 22 ans rapporte son espoir en une libéralisation du régime sur un blog devenu un hit sur la Toile.