Malgré des récentes avancées, la Suisse ne décolle pas dans la Rainbow Map de l’ILGA, qui compare les législations européennes en matière LGBTIQ+.
Étiquette : Norme pénale
Pink Cross, LOS et TGNS publient aujourd’hui leur rapport annuel sur les actes homophobes et transphobes en Suisse: leur nombre a été relativement stable l’an dernier. La plupart passent toutefois sous les radars, estiment les associations.
Des anti-mariage pour tou·te·s affirment avoir été blacklistés par une banque. Ils portent plainte pour violation de l’article 261bis du Code pénal… texte qu’ils combattaient pourtant l’an dernier.
Pile un an après le «oui» retentissant à l’extension de la norme pénale anti-homophobie, LOS,
Un jeune politicien de 18 ans a écopé de jours-amende avec sursis après un tweet où il faisait l’amalgame entre homosexualité et pédophilie.
Le Panel Suisse LGBTIQ+ a publié cette semaine sa deuxième édition. Elle incorpore des réponses sur la votation du 9 février, l’école et sur la pandémie, récoltées auprès de 1792 personnes.
Si le grand oui du 9 février pour pénaliser l’homophobie a été une importante avancée, la Suisse traîne encore la patte sur la question des unions, à l’ordre du jour de la prochaine session parlementaire, le 3 juin.
La Suisse latine a plébiscité le «oui» à l’extension de la norme pénale, qui a triomphé hier dans les urnes, même dans les cantons catholiques qui s’étaient montrés très réticents face au partenariat enregistré il y a quinze ans.
Les débats se sont focalisés sur la portée des «discours de haine» et leur rôle dans les agressions homophobes, lors de cette dernière semaine de campagne sur l’extension de la norme pénale antiraciste à l’orientation sexuelle.
Pinkwashing caféiné, mariage et sondages se sont invités dans l’avant-dernière semaine de campagne pour l’extension de la norme pénale, cette semaine.
Fait inhabituel en Suisse, une publicité pour une marque s’immisce dans une campagne de votations, en l’occurrence celle du 9 février sur l’extension de la norme pénale antiraciste.
À quinze jours du vote tant attendu sur l’extension de la norme pénale antiraciste à l’orientation sexuelle, les partisans du «non» le 9 février semblent patiner dans leurs contradictions ou se terrer dans le silence.
Plus qu’un mois avant les votations capitales sur l’extension de la norme pénale antiraciste à l’homophobie. Kiss-in, tracts et vidéo-choc: les comités et leurs bénévoles ne relâchent pas la pression.
Le 9 février, 65% des Suisses devraient dire «oui» au texte combattu par l’UDF et les Jeunes UDC, prédit une enquête du groupe Tamedia.
Dans pile deux mois, le peuple suisse se prononcera sur l’extension de la norme pénale contre le racisme à l’homophobie. Éclairage avec Alexandre Curchod, avocat spécialiste de la question.