La semaine dernière, des archéologues ont découvert dans la banlieue de Prague un squelette d’une personne identifiée comme transgenre. Une information souvent relayée par les médias de manière totalement incorrecte.
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Le magazine «Pref» (anciennement «Préférences») a annoncé hier qu’il mettait la clé sous la porte, après sept ans dans les kiosques.
Machine arrière toute: Pierre Bergé ne se désengagera pas, finalement, de «Têtu». L’homme d’affaires, fondateur du titre, l’a fait savoir dans un communiqué, relayé par le site OZAP.
On adorerait l’aimer. Hélas, le «petit satirique romand» s’enfonce de semaine en semaine dans une course au politiquement incorrect qui commence sérieusement à sentir le moisi.
Selon un journal économique français, l’entrepreneur Pierre Bergé souhaiterait arrêter les frais, et céder le principal hebdomadaire LGBT francophone, qu’il avait contribué à créer en 1995.
Le journal suisse «Blick am Abend» devra s’expliquer devant le Conseil de la presse sur un article paru cet été.
On ne la joue pas à l’acteur américain, qui revient longuement – et d’assez mauvaise grâce – sur les rumeurs concernant son homosexualité.
Ancienne gloire du ski suisse, Paul Accola pourrait faire son entrée au Parlement l’an prochain dans les rangs de l’UDC. Dans sa première interview politique, le Grison s’en prend aux journalistes homos.
Le journal qui avait appelé au meurtre de cent gays et lesbiennes, photos et adresses à l’appui, le 9 octobre dernier, serait sous le coup d’une interdiction.
A l’occasion du 100e numéro de 360°, on ose un petit plongeon dans le passé. Il était une fois…
Moses Mworeko, 31 ans, a eu le courage de témoigner à visage découvert. Un journal à sensation le lui fait payer avec une violence inouïe.
Une pub pour un CD sponsorisé par le magazine gay français a été caviardée. La raison: un enfant y apparaissait.
L’article a fait grand bruit outre-Atlantique. Dans l’une de ses dernières éditions, l’hebdomadaire «Newsweek» s’est interrogé sur la performance d’acteurs ouvertement gays. Pour le journaliste Ramin Setoodeh, celles-ci «sonnent faux» dès lors que ces artistes sont amenés à jouer des hétérosexuels.
La parution d’un récent sondage élisant les vingt icônes les plus gay de tous les temps le confirme: on connaît les icônes gay et on sait – plus ou moins – comment le devenir. Mais qu’en est-il du côté des lesbiennes?
Adepte du décloisonnement, un nouveau trimestriel part à la conquête des lectrices romandes. Sans fard, et sans cliché.