Une entreprise de courtage de mères porteuses doit venir présenter ses services lors d’un salon à Zurich. Or, la pratique est encore interdite en Suisse, même si les enfants nés par cette méthode sont reconnus.
Étiquette : Gestation pour autrui
L’État de Genève fait figure de pionnier dans la reconnaissance des «nouvelles formes de parentalité» au sein de son personnel.
Les cantons ont établi pour la première fois des statistiques des enfants nés à l’étranger par gestation pour autrui (GPA) et enregistrés en Suisse. Ils souhaitent dissiper le flou juridique entourant cette pratique.
Un couple gay d’Édimbourg est parvenu à bénéficier d’un remboursement du service public de la santé, le NHS, pour une procréation médicalement assistée réalisée dans le cadre d’une GPA.
Pères de deux petites filles grâce à une GPA, David et Luis ont été reconnus dans leur parentalité par le Conseil d’État genevois.
Le poisson d’avril d’un site d’information LGBT allemand, promettant une grossesse pour autrui à un couple gay par tirage au sort, a suscité un fort malaise.
Situation kafkaïenne pour un couple israélo-américain. Sur la base d’un test d’ADN forcé, un de leurs jumeaux a été reconnu comme Américain, l’autre pas.
A l’issue de son congrès, l’Arcilesbica rejette la GPA et la participation des trans. Les observateurs déplorent une radicalisation féministe de l’association, au détriment des combats LGBT.
Markus Hungerbühler, depuis peu papa d’une petite fille, a été désigné candidat à la mairie de Zurich. De quoi faire grincer des dents au sein de son parti.