La tyrannie de la maigreur, c’est la faute aux gays
Mannequin vedette de Ralph Lauren, la Suissesse Ronja Furrer dénonce l'influence des gays dans la mode. Ils imposent, selon elle, des modèles toujours plus maigres et androgynes.
Dur, dur, d’être un top model. Ronja Furrer a livré une interview quelque peu amère dans les colonnes de la «SonntagsZeitung», ce dimanche. Elle y raconte les longues heures de shootings, l’insécurité et la concurrence acharnée sur les podiums, notamment avec les filles de stars et autres enfants de millionnaires (en particulier Gigi Hadid) comptant leurs fans sur les réseaux sociaux par dizaines de milliers.
«J’ai beaucoup d’amis gays, mais…»
A 24 ans tout juste, la filiforme Soleuroise confie aussi avoir été écartée parce que «trop grosse», ou s’être vu reprocher la taille de sa poitrine. Cette tyrannie de la maigreur, selon la compagne du rappeur Stress, a une cause toute simple: «La plupart de ceux qui ont leur mot à dire dans ce business sont homosexuels. Ils veulent des modèles qui ressemblent à des garçons. Plus on est garçon, mieux c’est.» D’après Ronja, l’idéal pour eux serait une ado de 15 ans. «J’ai beaucoup d’amis gays, et je ne leur veux aucun mal. Mais manifestement, ils n’aiment pas les rondeurs.»
je ne leur veux aucun mal mais …
Etrange…. J’ai beau être gay, je déteste les sac d’os…
Mon dieu qu’elle est bête …
J’aime les rondeurs, mais seulement celles en muscles durs.
J’ai rien contre les suisses allemands, mais…