Effets secondaires: peut rendre homo
Un père de famille français poursuit le laboratoire GSK en justice. Il prétend qu'un médicament contre Parkinson, le Requip, a fait de lui un accro au sexe gay et au jeu.
Atteint de la maladie de Parkinson, un patient français de 52 ans a entrepris de poursuivre le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) en justice. Didier Jambart affirme que le Requip, un médicament qui lui avait été prescrit en 2003, l’a totalement métamorphosé psychologiquement. Jusqu’en 2005, ce père de deux enfants serait ainsi devenu accro aux jeu, y laissant toutes ses économies et volant même de l’argent dans la caisse du club de foot local. Le Requip aurait aussi réveillé chez lui une frénésie sexuelle insoupçonnée. Il affirme être alors devenu homosexuel, en proie à des poussées d’«hypersexualité» et d’exhibitionnisme.
Ces troubles de la personnalité auraient cessé avec un changement de traitement. Ruiné et lourdement endetté, Jambart réclame aujourd’hui 450 000 euros (560 000 fr.) au laboratoire, expliquant que lui et sa famille sont devenus des «parias» dans leur commune de la banlieue de Nantes. Sa carrière de cadre dans le secteur de l’armement militaire a également été stoppée net.
A la suite de cette affaire, GSK a mis à jour la liste d’effets indésirables du Requip. La firme soutient toutefois que ce type d’effets ne concerne qu’un patient sur 10 000.
Le jour où les associations militantes homosexuelles ouvriront les yeux et accepteront les liens psychologiques entre tendances homosexuelles (sur le spectre non statique et non binaire comme définit par Kinsey) et insécurités chez l’homme (dans le cas cité: vilipander le fric de sa famille etc etc peut effectivement foutre de sacrés doutes sur sa capacité d’homme supposé apporter la stabilité à sa famille) on avancera peut-être enfin avec un peu d’honnêteté..
Peut-être que ce médicament a tout simplement pour effet secondaire de déshiniber les pulsions refoulées .