Grand consommateur de femmes et boulimique de records, Jean-Philippe Smet dévoile aujourd’hui les secrets du hot dog façon Johnny.
Catégorie : Actualité
La Gay Pride reçoit l’appui des autorités, mais tous les Fribourgeois ne sont pas contents de voir des homos débarquer dans leur ville. A commencer par Pierre Stempfel, directeur de la Croix-Rouge locale.
Parce qu’elle a sponsorisé l’élection de Mister gay, la Migros est victime d’une campagne de boycott lancée par l’Union démocratique fédérale, un parti conservateur alémanique. Cela n’empêchera pas le distributeur orange de renouveler son soutien à l’événement.
Périodiquement, lorsque le petit monde gay genevois s’emmerde, des rumeurs circulent à propos d’une imminente faillite des affaires de Raymond Hoffman, notre Bernard Tapie local, version Cage aux folles.
Reconvertir les homosexuels en de sages hétéros, c’est la mission que se donnent des fondamentalistes chrétiens. Aux Etats-Unis surtout, mais en Suisse romande aussi.
«Ne deviens pas gay, tu finiras triste !» Tel est le titre d’un sombre opuscule publié et envoyé à tous les députés français au moment des débats parlementaires sur le Pacs. La droite chrétienne sort de l’ombre et révèle son vrai visage. Entre chemises brunes et claquements de bottes, enquête en eaux troubles.
Née au lendemain de la Révolution mexicaine, une héroïne intrépide aux attributs virils a marqué l’histoire de la BD populaire. Portrait d’une poupée de papier qui n’a peut-être pas fini d’habiller les fantasmes…
Dans les écoles américaines, la violence anti-gay prend des dimensions alarmantes, résultat de la propagande acharnée de la droite chrétienne. Mais une nouvelle organisation prend la défense des homos. Reportage.
De nuit comme de jour, les aires d’autoroute sont prisées pour la «consommation rapide». Toilettes ou buissons, activisme ou voyeurisme, il y en a pour tous les goûts. Une drague qui a ses heures, ses rites et parfois, comme à Zurich, son trop plein de flics.
Les squats genevois, Artamis ou les coopératives de logements ne sont pas que des expériences culturelles. Parce que des indépendants peuvent y travailler à faible coût, ils contribuent largement à l’économie.
Rien n’est vrai, mais rien n’y fait: au printemps 1998, une fausse rumeur courait à Lausanne prétendant qu’un homme s’était fait violer par sept autres dans les toilettes d’une boîte de nuit. D’où vient ce fantasme et pourquoi s’est-il répandu? Enquête.