Le réalisateur genevois Robin Harsch a suivi trois jeunes sur le long et douloureux chemin de la transition et le bouleversement qu’elle provoque. Son documentaire, «Sous la peau», est à découvrir dès mercredi.
Étiquette : Cinéma
Le réalisateur vaudois Basil Da Cunha dresse le portrait d’une jeunesse meurtrie dans un bidonville lisboète voué à la démolition.
«Welcome to Chechnya» donne la parole et un visage aux victimes de la répression anti-LGBT* qui sévit depuis 2017 dans cette petite république russe. Un documentaire accablant, triplement primé lors du festival.
Exceptionnelle dans «Judy», qui lui a valu l’Oscar de la Meilleure actrice, la comédienne bluffe par la texture de sa voix, empruntant la posture, la gestuelle de l’icône au destin tragique.
Dans son thriller «Baghdad In My Shadow», le réalisateur suisse, Prix du public aux Journées de Soleure, évoque le quotidien complexe de trois exilés irakiens à Londres.
Le festival genevois de films indépendants revient pour dix jours, avec un programme placé, comme d’habitude, sous le signe de l’éclectisme. Notre sélection.
Avec «And Then We Danced», le Suédois Levan Akin filme une romance gay sans avenir en Géorgie orthodoxe.
Quelques centaines d’extrémistes de droite ont tenté vendredi soir d’assiéger un des cinémas projetant le film de Levan Akin, premier long-métrage géorgien à briser le tabou de l’homosexualité dans ce pays très conservateur.
Dans son documentaire, Tim Travers Hawkins nous laisse découvrir une personnalité hors norme, charismatique, dotée d’un courage extraordinaire.
Quatre mois après la Pride avortée de Tbilisi, la sortie du film-événement «Et puis nous danserons» en Géorgie rallume la haine anti-LGBT des extrémistes locaux.
Entre gay, trans, bi ou polyamour, le festival bernois propose 64 longs et courts métrages en provenance de vingt pays.
Occasion rare, le cinéma Spoutnik à Genève projettera un des films de l’auteur français Guillaume Dustan dans le cadre de ses Rencontres satellites, où l’on découvrira également l’étonnant «Capital Retour».
Avec «Matthias et Maxime», Xavier Dolan se disant transformé, essaye autre chose en bouclant un chapitre personnel et cinématographique.
Deux réalisatrices se penchent sur la partie la moins connue du corps féminin en donnant la parole à une douzaine de jeunes femmes de 20 à 25 ans.
Le cinéaste romand Stéphane Riethauser se livre dans un passionnant autoportrait sous forme d’hommage à sa grand-mère, personnalité d’exception disparue il y a quinze ans.